Comment adhérer à l’association DYS-POSITIF ?

Les formules d’adhésion à DYS-POSITIF

Pour adhérer à l’association, vous devez créer un compte, puis suivre les indications pour choisir votre formule d’adhésion (selon le nombre de classes dont vous avez besoin) et le mode de paiement (CB, chèque ou virement). Notez que si vous possédez déjà un compte, vous devez vous y connecter et suivre également les indications.

Les témoignages de parents adhérents

Bonjour,

Je ne sais pas où écrire ce message, ni à qui l’adresser, mais quand parfois des choses vous changent la vie c’est important de le dire alors voilà, je voulais dire un grand MERCI à toutes les personnes derrière cette plateforme. 

Je me suis abonnée, pour mon fils de CM1 diagnostiqué multi-dys et les révisions sont vraiment facilitées avec la plateforme d’exercice. Il a de grosses difficultés à l’école et un seul manuel mis à sa disposition, qui regroupe les maths et le français, en noir et blanc, que même moi je n’ai pas envie d’ouvrir quand il faut faire les devoirs. Et bien maintenant, je ne l’ouvre plus ! 

J’ai presque hâte que la période du cahier de vacances arrive, pour tester ce format pour la première fois !

Excellente journée et encore merci.

Une maman reconnaissante 😉

Un partage d’expérience pour les enseignants !

Au cours de sa carrière, Stéphanie Guez a rencontré de nombreux enfants avec des TND, mais elle se souvient, plus particulièrement, de l’un d’entre eux : c’est l’histoire d’une jeune fille dyslexique et dysorthographique, accompagnée en classe par un AESH, depuis le CE1. 

« Extrêmement introvertie, elle refusait d’écrire et rendait systématiquement des copies blanches. Les enseignants précédents étaient très inquiets et voulaient l’orienter en classe spécialisée.

Un jour, je lui ai proposé d’écrire, sans se soucier de l’orthographe, en lui expliquant que seules ses idées seraient évaluées. Ce fut un véritable soulagement pour elle, et elle s’est enfin mise à écrire. J’ai été profondément impressionnée par la richesse et la qualité de sa rédaction.

Je l’ai chaleureusement félicitée et lui ai montré qu’elle était pleinement capable de réussir malgré ses difficultés. Petit à petit, elle a repris confiance en elle.

Un jour, elle m’a demandé : « Penses-tu que je pourrais devenir médecin ? » Cette élève était d’une grande pertinence à l’oral, dotée d’un raisonnement logique remarquable. Je lui ai répondu avec conviction qu’elle en était parfaitement capable et qu’elle ferait une excellente praticienne.

Elle a terminé son année de CM2 sans AESH, retrouvant ainsi confiance en elle et en ses capacités. Voir un élève s’épanouir et croire en son potentiel est sans doute la plus belle récompense pour un enseignant.

Les maîtres-mots : patience et bienveillance. »

Même si deux enfants partagent un même trouble DYS, leurs réactions et besoins peuvent être très différents. Certains développent des stratégies de compensation naturelles, tandis que d’autres ont besoin d’un encadrement plus structuré. Leur environnement, leur personnalité et leur confiance en eux jouent un rôle clé dans leur progression.

Chaque enfant réagit différemment aux méthodes d’apprentissage. Certains sont persévérants et motivés malgré les difficultés, tandis que d’autres se découragent plus facilement face à l’échec. Le soutien familial et scolaire est alors déterminant pour leur permettre d’avancer à leur rythme. C’est une évidence, corroborée par l’expérience concrète et les nombreux témoignages qui soulignent les progrès réalisés.