Mieux vivre l’école avec les Fleurs de Bach – TDAH – DYS-POSITIF
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Mieux vivre l’école avec les Fleurs de Bach – TDAH

Fleurs de Bach-Trouble du déficit de l’attention avec hyperactivité

Accueillir un enfant atteint de troubles du comportement à l’école – TDAH

Je suis Françoise Quencez j’ai été pendant des années  à la direction d’une école primaire en parallèle d’une activité  de Conseillère en Fleurs de Bach.

L’accueil  et le suivi des enfants à besoins particuliers, comme les enfants « dys » ou les enfants souffrant de troubles du comportement faisaient  partie de mes missions au sein de l’Education Nationale.

J’ai vite acquis la certitude que ces enfants souffraient de difficultés émotionnelles importantes et que les procédures d’aide destinées à diversifier ou aménager les pratiques pédagogiques ne pourraient être efficaces que si l’on  aidait les enfants  à harmoniser leurs émotions négatives. Les enseignants, malgré toute leur bonne volonté et tous les « trucs » pédagogiques appris au fil des années se trouvent bien démunis face des émotions bloquées, comme la peur de l’échec, l’agressivité, l’anxiété, qui empêchent les apprentissages.

La balle est donc dans le camp des parents mais beaucoup ignorent qu’ils ont à leur disposition  une solution naturelle, sans effets secondaires, connue depuis plus de quatre-vingt ans : les Fleurs de Bach.[1]

Je vous propose de suivre le parcours d’un enfant atteint de TDAH dont la vie aurait été toute autre si ses parents avaient eu accès à la découverte du Docteur Edward Bach.

 

Hadrien, atteint du TDAH. Premier contact

Je dirigeais une  école maternelle qui accueillait une centaine d’enfants de trois à six ans quand j’ai fait la connaissance d’Hadrien. L’Inspecteur de Circonscription de l’Education Nationale m’avait contacté pour me demander de l’accueillir. Il se voyait obligé de le changer d’établissement de nouveau  car sa maîtresse, épuisée,  en arrêt pour dépression nerveuse, ainsi que ses collègues et les parents des autres enfants s’opposaient à son maintien dans leur école.

La demande d’un IEN ne se refuse pas et Hadrien rejoignit ma classe.

Il arrivait  en cours d’année de Moyenne Section précédé d’une réputation forgée dans les deux écoles qu’il avait déjà fréquentées et son arrivée provoqua plusieurs appels téléphoniques et une réunion de l’équipe enseignante avec la psychologue du Rased[2].

Dès son entrée dans l’école, il se laissa tomber de tout son long sur le banc placé contre un mur, prévu pour que les enfants se déchaussent, laissant perplexes les autres petits, et refusa catégoriquement de mettre ses chaussons. Afin d’éviter le conflit qui s’annonçait dès les premières minutes, l’ATSEM, avec l’accord de la maîtresse, renonça provisoirement à imposer les habitudes de l’école.

Les enfants de la classe de Moyenne Section attendaient en rang l’entrée dans la classe et, encouragé par la maîtresse,   Hadrien se joignit à eux.  A peine installé  à la table commune de son groupe, il commença à se balancer d’avant en arrière sur sa chaise jusqu’à provoquer sa chute, ce qui ne le démonta apparemment pas, car il récidiva de suite malgré une bosse et un rappel à l’ordre. Pendant les activités,  le crayon qui lui était prêté fut rapidement rendu inutilisable, trituré, cassé entre les doigts puis jeté en l’air et Hadrien, dont l’excitation croissait, se mit à rire bruyamment, d’un rire hystérique sans fin.

La maîtresse écourta donc la séquence et regroupa les enfants autour du tableau pour des jeux de doigts et des comptines. Assis en bout du banc, Hadrien, qui ne semblait pas concerné, se tortillait sans arrêt et finit par faire tomber ses voisins tout en parlant d’une voix très forte de son vélo.

Hadrien en récréation, de la violence au désespoir

Les craintes des enseignantes par rapport au probable comportement d’Hadrien en récréation se réalisèrent vite. Plus grand même que les garçons de Grande Section, meneur dans l’âme, il entraînait les autres dans des jeux extrêmement brutaux, sans aucun respect des règles les plus élémentaires. Il escaladait les arbres de la cour, tentait de sauter le grillage qui la clôture et armé de pierres partait  à la   chasse aux oiseaux, tout en hurlant de toutes ses forces des insultes grossières. Ramené près des enseignantes afin de le calmer, il n’arrêtait pas de se balancer d’avant en arrière, comme dans une transe.

Au bout de quelques minutes,  autorisé à aller jouer sur le toboggan, il dévalait la pente tête la première sans aucune conscience du danger, après avoir écarté avec brutalité les enfants qui attendaient leur tour dans le calme  et, malgré les remontrances, recommença à plusieurs reprises.

A l’heure de la sortie, assis comme les autres enfants sur les bancs de la salle d’accueil, il se révéla incapable de supporter la proximité des autres  et ne cessa de les pousser, de rire à grands cris, de jeter les « doudous ». Grondé, il se protégeait la tête de ses mains en un geste de peur. Finalement installé seul sur une chaise, d’inquiétude, il   se mettait à se  cogner la tête contre le mur avec violence jusqu’à ce qu’une enseignante se précipite pour  l’arrêter. Il était alors pris de tremblements qui ne s’apaisaient que lentement.[3]

Que faire avec Hadrien ? Les limites des possibilités d’action de l’Education nationale

Face à un enfant atteint  de troubles graves du comportement comme l’était Hadrien, les enseignants s’informent auprès du psychologue scolaire du RASED afin d’obtenir des informations précises sur ce qui a été mis en place pour l’enfant (CAMS, suivi orthophonique ou psychologique…) avant de demander une rencontre avec les parents. Le dossier d’Hadrien ne contenait que les signalements des enseignants.

La première rencontre fut infructueuse et il fallut attendre la deuxième fois pour que les parents reconnaissent qu’ils n’avaient aucun contrôle sur leur enfant qui fuyait de la maison en vélo, dès qu’ils tournaient le dos et qui  passait son temps à arracher le papier peint des murs et à casser les ampoules des lampes à coup de pierres… Ils acceptèrent finalement que la psychologue observe Hadrien en classe mais étaient réticents à se lancer dans  des démarches pour obtenir de l’aide en dehors de l’école. Malgré plusieurs rencontres où les enseignantes avaient insisté pour que l’enfant fasse un bilan au CAMS en proposant leur aide, les parents restaient sur leur position.

Tout au long de l’année, Hadrien répéta les mêmes attitudes et reproduisit les mêmes violences. Aucune amélioration ne fut constatée chez l’enfant et aucun apprentissage ne semblait acquis.

Pour son enseignante qui s’occupait de vingt-huit élèves à part lui, la situation était épuisante nerveusement mais son seul recours était de confier l’enfant à la collègue d’une autre classe ou de le laisser quelques minutes sous la surveillance de l’ATSEM.

A la rentrée suivante, la psychologue scolaire, bien que débordée de travail[4], proposa, suite à nos multiples demandes de secours, de rencontrer Hadrien une fois par mois avec l’accord des parents pour tenter de l’aider puisque ceux-ci ne souhaitaient  toujours pas avoir recours au CAMS.

La situation finira par évoluer quand Hadrien sur son vélo sera renversé par une voiture. Suite à son hospitalisation, les parents accepteront de faire les bilans au CAMS et la Ritaline proposée par le médecin responsable. Moins agité, on le sentit cependant à partir de ce moment-là nerveux et agressif, lui qui n’avait jamais été insolent avec les adultes…

 

Cas extrait du  livre « Mieux vivre l’école avec les Fleurs de Bach » Françoise Quencez Editions Grancher 2013                           

Les Fleurs de Bach qui auraient pu éviter toutes ces souffrances

Les Fleurs de Bach harmonisent les émotions et les états d’esprit qui se manifestent en négatif. Point n’est besoin de mettre un nom sur le problème dont souffre l’enfant. Il suffit de l’observer  et constater quelles émotions perturbent son bien-être.

Voyons les Fleurs principales qui auraient soulagé Hadrien.

« Hadrien, le meneur à la forte volonté qui refuse obstinément de faire ce qu’on lui dit, est en état négatif de « Vine » (Vigne).  Il a des capacités dirigeantes exceptionnelles mais il ne connaît, pour l’instant, ni la tolérance, ni la compréhension.

« Vine » l’aidera à   développer ses qualités de chef et à accepter l’aide que les autres peuvent lui apporter.

Mais c’est aussi un enfant qui a peur et tente de se rassurer par des moyens extrêmes.

Cet enfant qui ne contrôle ni ses gestes ni ses émotions et qui montre son angoisse en   se balançant sur sa chaise ou en se cognant la tête contre les murs  sera soulagé par « Cherry Plum » (Prunier Myrobolan). Cette Fleur  ramènera le calme dans son esprit troublé.

 

« White Chestnut » (Fleur de Marronnier Blanc)  apaisera ses préoccupations persistantes et répétées, ses inquiétudes par rapport à l’école et évitera ainsi la montée de son  stress qui,  tel une cocotte-minute, monte en pression et explose en « Cherry Plum », en perte de contrôle.

Ces Fleurs lui apporteront la capacité à faire face à ses émotions, à maîtriser le stress,  amélioreront ses capacités d’adaptation, cette auto-régulation, enfin,  qui lui fait actuellement complètement défaut.

Hadrien pourra alors commencer les apprentissages scolaires avec profit. »[1]

D’autre Fleurs complèteraient cette première approche pour aider Hadrien à ne plus souffrir de ses troubles comportementaux comme elles le font déjà pour d’autres enfants atteint de TDAH.

Un Conseiller agréé par le Centre Bach sera à même de vous aider à les choisir au mieux.

[1] Extrait de « Mieux vivre l’école avec les Fleurs de Bach » Françoise Quencez Editions Grancher 2013

Fleurs de Bach – TDAH

TDAH – Trouble du déficit de l’attention avec hyperactivité – TDAH

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